Véronique Martin-Morvan : Vétérinaire, Ostéopathe, conseillère municipale, déléguée communautaire et d'autres choses ...
(lire article de presse du 9 juillet 2019)

Métier chercheur STOP !!!! il faut cesser les recherches sur les animaux. Il existe des méthodes alternatives à la recherche qu’il convient de privilégier…..merci pour les animaux et pour l’éthique….. (lire article de presse du 21 juin 2019)

De nouvelles professions comme le montre christelle Thompson professionnelle en communication animale et sophie Tiale praticienne en développement personnel et professionnel accompagné par le cheval . Pourquoi pas ?
(lire article de presse du 12 juin 2019)

L' exercice annuel des sapeurs pompiers est fait pour pour aider ces derniers a travailler avec les animaux (lire article de presse du 6 juin 2019)

Je voudrais à ce sujet, attirer l’attention sur les bruits de couloir qui rapportent que dans les centres d’Education Canine quelques exagérations ont lieu quant à la façon de traiter les toutous. Il faut « éduquer » mais en évitant la maltraitance. Attention aux déviances, l’Education Canine, oui, mais pas à n’importe quel « prix ». (lire article de presse du 31 janvier 2019)

Les vétérinaires représentent une profession qui se trouve à l’heure actuelle bien reconnue par la société. Ils y ont fait leur place. Leurs services sont rémunérateurs.
Les vétérinaires ont su se faire respecter, pourquoi il n’en serait pas de même de la Protection Animale (souhait de la professionnalisation de la protection Animale, de création de nouveaux moyens (locaux, structures) chapeauté par un ministère de la condition animale, etc….il s’agit de « promouvoir » la Protection Animale, qu’elle prenne enfin la place à laquelle elle doit s’élever au 21ème siècle. . (lire article du 28 janvier 2019)

Plus que des compagnons, ils font partie de la famille . (lire article de presse du 1 janvier 2019)

Il convient de faire émerger de nouvelles professions autour des animaux.
Mis à part les vétérinaires qui ont su faire reconnaître l’intérêt de leur travail et à le mettre en valeur au point qu’il soit bien rémunérés et se trouvent bien intégrés dans la société, en bénéficiant d’un statut honorable, toutes les activités tournant autour de la protection animale, ne sont ni reconnus ni rémunérateurs (voir la précarité des associations ou les difficultés et le manque de reconnaissance des nourricières sur les sites de nourrissage).
Dans ce cas, l’éducation canine s’est bien développée au cours de ces dernières décennies…..et on ne peut que s’en féliciter….pour le bien être du chien comme du maître (lire article de presse du 27 octobre 2018)

Ne faudrait-il pas finir par accepter que les animaux entraînent des frais et favoriser « la professionnalisation » des services aux animaux.
Le bénévolat ne doit pas suffire il faut privilégier l’émergence « de professionnels » et garantir « un service fiable. » aux animaux et aux maitres.
Fini « le bricolage »…..(lire article de presse du 12 octobre 2018)