Bel exemple de restaurant végétarien que je recommande pour y être allée.
L’accueil, la nourriture, bio, locale tout est bon à prendre, on peut même y consulter des livres sur la cuisine végétarienne et l’écologie….
Alors adresse à mettre dans votre calepin et à fréquenter sans modération……
(lire article de la Presse de la Manche du 13 août 19)

N’y a-t-il pas autre chose à organiser ? (lire article de la Presse de la Manche du 16 juillet 2019)

Montebourg, les élèves d'un lycée agricole visitent un abattoir (lire article de la Presse de la Manche du 10 mai 2019). Besneville, des enfants de CP decouvrent les travaux de la ferme (lire article de la Presse de la Manche du 11 mai 2019). Nous, adultes, sommes responsabless des valeurs que nous transmettons à nos jeunes, par le biais de l'éducation, veillons à mettre en avant le bien être animal .

« Le lundi vert » Ou « une journée sans manger de chaire animale »
A mon avis, cette évolution s’avère « inévitable ».
Il convient de manger moins de viande sinon pas du tout dans le souci du respect de l’environnement et des animaux…..(lire article de la Presse de la Manche du 4 janvier 2019)

L’abattage à la ferme : une évolution ?
Oui, abattre directement un animal à la ferme signifie que l’animal ne subit pas le transport jusqu’à l’abattoir, donc il est moins stressé, les connaisseurs disent que la viande est meilleure.
Autre avantage, l’animal n’est pas parqué pendant des heures ou des jours à proximité de l’abattoir où il se rend bien vite compte de ce qui l’attend.
Enfin, un abattage à domicile représenterait une garantie de meilleures conditions d’abattage, (pas de surprises dans le travail à la chaine) et serait plus surveillé dans le respect du bien-être animal….
Mais, en fait, à mon humble avis, la véritable évolution serait de moins manger de viande, sinon pas du tout……
Toute une autre philosophie !!!!!! .(lire article de la Presse de la Manche du 11 décembre 2018)

Aucune excuse !!!!!! .(lire article de la Presse de la Manche du 10 septembre 2018)

Mode ou Fait de société ? Désormais les animaux sont des "vecteurs de communication" dans les maisons de retraite. (Art de la Presse de la Manche de 10 octobre 2016)

Une photographe fait des photos d’animaux contre des croquettes. (article de Presse du 12 août 2016)
Une idée originale et généreuse qui témoigne de la façon dont les associations, téméraires et courageuses, s’ingénient à trouver des aides, en l’absence d’une volonté politique réelle pour la protection des animaux, et là, en particulier pour les chats errants de l’association 40 en chats.
A quand un réel investissement financier et moral des pouvoirs publics en faveur de la protection animale pour éviter d’avoir toujours recours au système D et à des mesures de bricolage qui ne représentent que des « mesurettes » partielles et insuffisantes face aux exigences de la réalité du terrain….et des besoins des associations et de leurs protégés….