Une lectrice s' indigne à juste titre suite à l' article paru le 26 novembre (Presse de la Manche du 26 novembre 2020)

Les lecteurs de la presse livrent leurs opinions sur la nécessité d' avoir des animaux sauvages dans les cirques ou les delphinariums (Presse de la Manche du 1 octobre 2020)

Un cauchemar pour les équidés (Presse de la Manche du 8 septembre 2020)

Enfin une bonne initiative, ces petits animaux sont utiles dans nos jardins (Presse de la Manche du 31 août 2020)

Un avis prêtant à discutions de la part d' une lectrice.(voir le coin des lecteurs de la Presse de la Manche du 24 juin 2020)

Merci à ce Poète de nous remettre du baume au coeur ..(voir le coin des lecteurs de la Presse de la Manche du 29 avril 2020)

Avis d' une lectrice sur les 44 bovins délaissés à Blainville sur mer .(lire article de presse du 9 mars 2020).

Encore un "accident" du à un propriétaire de chien indélicat .(lire article de presse du 5 mars 2020).

Une référence au film "soleil vert" de Richard Fleischer qui fait réfléchir .(lire article de presse du 3 février 2020).

Dans la même commune, deux habitants réagissent à "un fait divers": L' une minimise la présence de ministres à une corrida, tandis que l' autre s' oppose à la corrida .(lire article de presse du 1 septembre 2019).

Un lecteur s' interroge sur l' égalité des animaux ... dans le sud.(lire article de presse du 21 août 2019).

Une lectrice indignée (lire article de presse du 3 juillet 2019).

Je vous avouerais que votre article du 3 août dernier « de l’incohérence à la diversité » dans la rubrique « paroles de lecteur » m’a carrément fait bondir de révolte.
Contrairement à la personne qui écrit l’article, je pense que un enfant ne peut-être que le fruit d’un père et d’une mère biologique et qu’eux seuls doivent en assumer la responsabilité.
Il existe bien assez de difficultés dans les familles formatées qui sont de plus en plus « recomposées » ou « décomposées » à mon goût pour ne pas rajouter d’autres formules dramatiques pour l’éducation des enfants.
Je me positionne formellement contre, la GPA, la PMA et toute autre salade mexicaine de la famille car un père biologique sera toujours un père et une mère biologique sera toujours une mère.
Les racines doivent être respectées si l’on ne veut pas aboutir vers une société de décadence et de « dégénérés »
Pour moi, les mots ne seront jamais assez forts. Mille excuses à ceux qui se baptisent ouverts à d’autres formes de famille…..et je resterais intransigeante sur le principe, qu’on se le dise.

Nicole Potigny

Un lecteur de la Presse de la Manche s' indigne sur le traitement des animaux dans les abattoirs, suite aux procès intentés contre l' association L214 (lire article de presse du 2 juin 2019).

Cela aurait pu faire un bon poisson d' Avril, mais il n' en est rien . Cette pratique qui prête autant à rire qu 'à pleurer (lire article de presse du 27 avril 2019). Qu'en pense les gens ? voici l' avis d' une lectrice (lire article de presse du 10 mai 2019)

Cet article ne tient pas debout, sachant que les hommes peuvent se passer de manger des animaux !!!!!! (lire article de presse du 26 septembre 2018)

La Presse de la Manche expose très souvent des articles sur les comices agricoles, les festivals d’animaux, les foires d’animaux en tous genres, et ça ne serait pas extraordinaire si ce n’est que tout est orienté pour que l’animal puisse finir dans notre assiette ou nous amuser…..à ses dépends….
Comme le disait Francis Cabrel, dans sa chanson sur la corrida, « c’est fou ce qu’on peut s’amuser autour d’une tombe…. »
Rappelons que nous sommes au 21ème siècle et rajoutons ces mots de Cabrel « est-ce que ce monde est sérieux ? « … »

Merci à monsieur Christian LECLERC de nous dresser ce triste tableau de la vie des bêtes…..(voir le coin des lecteurs de la Presse de la Manche du 20 août 2018)

Si la grandeur d’une nation se mesure à la façon dont sont considérés les animaux comme le disait gandhi, une lectrice du coin des lecteurs (Mme Genevièvre Lecarpentier) de la presse de la manche fait bien remarquer que sous le règne du roi Macron, rien ne change pour les animaux en leur faveur, bien malheureusement (lire article du 3 juillet 2018)