Quelqu’un a dit « aimons-nous les uns les autres » (lire article de presse du 6 avril 2019)

L'adieu sincère et émouvant d'un jardinier à son ami piou-piou (cf texte )

Bouboulle était une chatte qui se trouvait sur un site de nourrissage depuis environ 8 à 9 ans.
Elle était donc nourrie, vermifugée, traitée anti-puces régulièrement et avait été stérilisée par l’association des chats libres de mme HARIVEL, il y plusieurs années.
Or, dernièrement, une des personnes de l’équipe nourricière a été informée de son retrait temporaire du site pour une stérilisation, or, elle était DEJA STERILISEE.
Bouboulle est revenue avec un pansement qui pendouillait sous le ventre, et elle a disparu, sans doute décédée dans un coin des suites de cette 2ème opération, mal venue pour une Bouboulle âgée et déjà opérée depuis plusieurs années…ce qui est regrettable…
Notons le manque de professionnalisme des associations. Merci à ces associations qui prélèvent un animal sur un site de nourrissage de DEMANDER auparavant des informations aux nourricières et nourriciers qui passent tous les jours et connaissent parfaitement bien les animaux, cela éviterait qu’une chatte soit stérilisée 2 fois et subisse des souffrances inutiles à en mourir avec d’effroyables souffrances et dans la solitude.
A ajouter que bouboulle a été remise à peine 8 jours après sa stérilisation, sur le site de nourrissage, ce qui nous fait douter de la bonne pratique de stérilisation au niveau de la convalescence de l’animal des associations.
Paix à Bouboulle, nous ne t’oublierons pas…..

Le mercredi 6 juin, ce n' était ni Moïse ni Dieu, mais un jeune veau et une touriste anglaise (lire article de presse du 7 juin 2018).Ce fait restera local et ne passera pas à la télévision, mais cette femme se jetant à l' eau pour sauver un petit veau reste un bel exemple de la sauvegarde animale. Dommage pour ce veau, qui finira peut-être, un jour dans l' assiette de son sauveteur.

Alors que Cherbourg en Cotentin ouvre son festival "Femmes dans la ville", je voudrais ouvrir une parenthèse sur des femmes inconnues du grand public et pourtant d' une grande utilité pour la commune .
Vous ne les voyez jamais mais, discrètes, elles sont là : le matin de bonne heure ou le soir tard. Ce sont les "Protectrices des chats errants et les Dames nourricières". Ces personnes dévouées corps et âme à la cause animale, peut-être les connaissez-vous, mais vous n' imaginez sûrement pas leur dévouement et leur travail . Sans relâche elle gère la population féline de votre commune : Elles nourrissent ces pauvres bêtes abandonnées de tous, elles les soignent et les stérilisent pour limiter leur prolifération.
Ces Dames, bénévoles (au sens pur du mot) donnent une grande partie de leur temps et quelquefois de leurs économies à la cause animale. Sont-elles reconnues, parle-t-on d' elles ? NON, si l' une d' elles passe dans les journaux c' est qu 'elle est poursuivit pour avoir nourrit des animaux errants.
Aujourd'hui je me fait l' avocate de ces Dames : Discrète et efficace comme les abeilles travailleuses d' une ruche, elle mérite la reconnaissance du public . Ne méritent-elles pas le qualificatif d' Anges protecteurs ? (voir affiche femmes dans la ville)

Une histoire sordide et bien mal venue concernant des fleurs gênantes et un chien dérangeant . Heureusement que des gens bienveillants veille au grain (cf article presse de la manche du 28 mai 2017) .